Accusations de Viol Contre Deux Prêtres en Bretagne
Une enquête judiciaire est ouverte à Loudéac après les plaintes de deux femmes.
En Bretagne, l'accusation de viol qui vise deux prêtres a plongé la communauté catholique de Loudéac, dans le département des Côtes-d'Armor, dans une agitation peu commune.
Ces grave allégations ont été formulées par deux femmes adultes, déclenchant une enquête préliminaire suite au signalement des faits par l'Église elle-même.
L'affaire a été rendue publique par Monseigneur Denis Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier, à travers un communiqué diffusé le 11 janvier.
Mgr Moutel y exprimait sa profonde tristesse et expliquait que les victimes présumées s'étaient tournées vers l'Église avec leurs accusations.
Dans le respect du protocole établi entre le diocèse et le parquet de Saint-Brieuc, l'Église a informé les autorités judiciaires, une démarche qui met en lumière la coopération avec le système judiciaire.
Le procureur de Saint-Brieuc, Nicolas Heitz, a confirmé l'ouverture de l'enquête lundi à l'Agence France-Presse.
Il a précisé qu'une plainte formelle avait été déposée par une des femmes majeures concernées.
L'enquête a été confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Saint-Brieuc, équipée pour traiter des délits d'une telle gravité.
En réponse, l'évêque de Saint-Brieuc a imposé des mesures préventives, demandant aux deux prêtres impliqués de se retirer temporairement de leurs fonctions pastorales.
Cette décision vise à garantir la pureté des investigations et à permettre un déroulement sans entrave de la procédure judiciaire.
Ce dossier s'insère dans un contexte plus large de gestion des allégations de nature sexuelle au sein de l'Église catholique, un sujet qui suscite des débats intenses et étendus à travers le monde.
Le diocèse de Saint-Brieuc illustre ici une volonté de transparence et de prise de responsabilité, bien que le chemin vers la vérité et la justice soit souvent complexe et jalonné d'obstacles.
Pour l'instant, l'enquête reste prioritaire et ses conclusions, une fois établies, détermineront les éventuelles mesures à prendre par les autorités religieuses et judiciaires.
Dans un cadre légal et éthique, le principe de présomption d'innocence demeure un fondement que toutes les parties prenantes s'engagent à respecter.
Ces grave allégations ont été formulées par deux femmes adultes, déclenchant une enquête préliminaire suite au signalement des faits par l'Église elle-même.
L'affaire a été rendue publique par Monseigneur Denis Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier, à travers un communiqué diffusé le 11 janvier.
Mgr Moutel y exprimait sa profonde tristesse et expliquait que les victimes présumées s'étaient tournées vers l'Église avec leurs accusations.
Dans le respect du protocole établi entre le diocèse et le parquet de Saint-Brieuc, l'Église a informé les autorités judiciaires, une démarche qui met en lumière la coopération avec le système judiciaire.
Le procureur de Saint-Brieuc, Nicolas Heitz, a confirmé l'ouverture de l'enquête lundi à l'Agence France-Presse.
Il a précisé qu'une plainte formelle avait été déposée par une des femmes majeures concernées.
L'enquête a été confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Saint-Brieuc, équipée pour traiter des délits d'une telle gravité.
En réponse, l'évêque de Saint-Brieuc a imposé des mesures préventives, demandant aux deux prêtres impliqués de se retirer temporairement de leurs fonctions pastorales.
Cette décision vise à garantir la pureté des investigations et à permettre un déroulement sans entrave de la procédure judiciaire.
Ce dossier s'insère dans un contexte plus large de gestion des allégations de nature sexuelle au sein de l'Église catholique, un sujet qui suscite des débats intenses et étendus à travers le monde.
Le diocèse de Saint-Brieuc illustre ici une volonté de transparence et de prise de responsabilité, bien que le chemin vers la vérité et la justice soit souvent complexe et jalonné d'obstacles.
Pour l'instant, l'enquête reste prioritaire et ses conclusions, une fois établies, détermineront les éventuelles mesures à prendre par les autorités religieuses et judiciaires.
Dans un cadre légal et éthique, le principe de présomption d'innocence demeure un fondement que toutes les parties prenantes s'engagent à respecter.
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