Kim Kardashian a révélé qu'elle s'était appuyée sur ChatGPT pour des conseils juridiques tout en étudiant pour ses examens du barreau — et affirme que le chatbot d'intelligence artificielle est en partie responsable de ses échecs répétés.

Dans une interview avec un détecteur de mensonges pour Vanity Fair, l'entrepreneuse de quarante-cinq ans et avocate en devenir a admis qu'elle avait recours à cet outil d'IA en se préparant pour ses tests de qualification juridique, disant qu'elle photographiait les questions et les envoyait à ChatGPT pour obtenir des réponses.

Kardashian a déclaré que les réponses étaient souvent erronées et qu'elle devenait frustrée lorsqu'elles lui faisaient échouer.

'Ça me faisait échouer aux tests tout le temps,' a-t-elle dit, expliquant qu'elle se mettait 'en colère et lui criait dessus,' seulement pour que le chatbot réponde, 'Ceci ne fait que t'apprendre à faire confiance à tes propres instincts.

Tu savais la réponse depuis le début.' L'échange a fait rire l'intervieweuse Teyana Taylor, qui a suggéré que la relation de Kardashian avec l'IA ressemblait à celle d'une 'frenemy.' Kardashian a acquiescé : 'Je lui fais confiance, mais elle me répond comme un thérapeute et me dit de croire en moi.'

Le test polygraphique a confirmé qu'elle était sincère à propos de l'utilisation de ChatGPT, ajoutant une touche d'ironie à sa confession.

Le parcours de Kardashian à l'école de droit, qui a commencé vers 2019, s'est étendu sur six ans plutôt que les quatre ans standards.

Après avoir réussi l'examen préliminaire du barreau de Californie en 2021, elle a terminé ses études et attend maintenant les résultats de son examen final du barreau.

Ses commentaires légers mais révélateurs soulignent un problème croissant dans l'éducation professionnelle — la tentation de se fier à des outils d'IA pour l'apprentissage et la prise de décision.

ChatGPT, bien qu'il soit largement utilisé pour la rédaction et le tutorat, n'est pas conçu pour des études juridiques certifiées et peut facilement fournir des réponses inexactes ou incomplètes.

Pour Kardashian, qui a défendu la réforme de la justice pénale et a étudié pour suivre les traces juridiques de son défunt père Robert Kardashian, l'incident met en évidence à la fois la promesse et le danger d'intégrer l'IA dans le jugement humain.

Bien qu'elle ait exprimé une fascination continue pour la technologie, son histoire sert de mise en garde contre la surconfiance envers l'intelligence machine dans des environnements de test à enjeux élevés.

Qu'elle réussisse ou échoue au final, les remarques de Kardashian ont déjà ravivé le débat sur les limites de l'intelligence artificielle dans l'éducation — et sur la sagesse de laisser un algorithme devenir son partenaire d'études juridiques.